Les 10 cabriolets les plus vendus en Belgique

Info | En 2010, le marché des cabriolets a totalisé près de 11.000 unités, soit à peine 2% des ventes globales, avec une belle résistance des moteurs à essence (45%) par rapport aux moteurs Diesel (55%), mais ce n'est pas le mode de la motorisation qui anime le débat, c'est le toit. Uniquement réalisé en toile, le toit des cabriolets est, depuis une quinzaine d'années, passé progressivement à un matériau dur repliable en plusieurs panneaux : aujourd'hui, les adeptes de la capote se comptent presque sur les doigts

De Pickx

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En 2010, le marché des cabriolets a totalisé près de 11.000 unités, soit à peine 2% des ventes globales, avec une belle résistance des moteurs à essence (45%) par rapport aux moteurs Diesel (55%), mais ce n’est pas le mode de la motorisation qui anime le débat, c’est le toit. Uniquement réalisé en toile, le toit des cabriolets est, depuis une quinzaine d’années, passé progressivement à un matériau dur repliable en plusieurs panneaux : aujourd’hui, les adeptes de la capote se comptent presque sur les doigts d’une main. Mais les compagnies d’assurances sont, elles, partisanes des toits en durs, moins vulnérables aux coups de couteaux et autres objets tranchants chers à quelques voyous frustrés par le strass de ces jolis bijoux. Alors que le printemps pointe le bout de son nez, tour d’horizon des dix cabriolets les plus vendus…

1. Peugeot 308 CC : toit en dur !

La championne (de justesse !) de la catégorie dispose de quelques améliorations effectives à partir du mois d’avril prochain. Esthétiquement, les lignes extérieures ont été retouchées pour accentuer le caractère de la voiture tant à l’avant que sur les côtés et à l’arrière. À l’intérieur, un nouveau dessin de la planche de bord et une amélioration de la finition marquent, entre autres, la différence par rapport à la version précédente, le cabriolet bénéficiant en outre de sièges avant avec un diffuseur d’air chaud au niveau de la nuque, de 6 airbags et d’arceaux extractibles en cas de retournement. Techniquement, plusieurs facteurs (réduction du poids d’environ 25 kg, pneus à basse résistance au roulement, etc.) ont permis la réduction des émissions de CO2. Mais on retient surtout l’arrivée d’une nouvelle version 1.6 e-HDi (112 chevaux) disposant de la technologie micro hybride (Stop & Start, alternateur réversible et récupérateur de l’énergie en décélération) qui permet de réduire la consommation urbaine de 15% et de baisser de 5 g/km de CO2 les émissions homologuées sur cycle. En clair, la 308 CC 1.6 e-HDi émet 104 g/km de CO2 en boîte manuelle et 98 en boîte pilotée…

2. Peugeot 207 CC : toit en dur !

Depuis le début du mois de mars, la Peugeot 207 CC a également bénéficié de petites évolutions : toutes les versions sont désormais équipées de projecteurs antibrouillard et de baguettes latérales couleur caisse soulignées d’un jonc chromé, une nouvelle gamme de moteurs proposant en outre un positionnement CO2 encore meilleur dans le contexte fiscal, mais la version spécifique « 98g » est réservée pour le moment à la berline. Il est vrai que la 207 avait subi une grosse cure de rajeunissement durant l’été 2009, tant à l’extérieur qu’à l’intérieur et que mécaniquement,

3. BMW Série 1 : capote en toile !

Extension logique de la gamme, la BMW Série 1 Cabriolet arrivait en 2008 en tant que quatrième variante de la série, après la 5 portes, la berline 3 portes et le coupé. La capote en toile s’ouvre et se ferme en 22 secondes. Le mécanisme fonctionne alors que la voiture roule jusqu’à 50 km/h, on peut donc ouvrir ou fermer la capote dans quasiment toutes les situations en ville. Grâce à une trappe à skis avec sac de transport intégré (option) reliant le coffre à bagages à l’arrière de l’habitacle, la capacité de chargement permet de transporter, même lorsque la capote est ouverte, deux sacs de golf ou deux snow-boards. Les mesures du programme BMW EfficientDynamics sont présentes sur tous les modèles à des degrés divers selon les motorisations. Les roues arrière motrices et des motorisations puissantes sont à l’origine d’un plaisir de conduire exceptionnel. Le modèle phare de la série, la BMW 135i Cabriolet (6 cylindres twin turbo de 306 chevaux), est équipé de série du kit aérodynamique M modifié et de la suspension Sport M provenant du Pack Sport M.

4. Audi A3 : capote en toile !

Commercialisée depuis le printemps 2008, l’Audi A3 Cabriolet est proposée avec cinq motorisations, deux moteurs à essence et trois TDI, qui allient puissance et efficacité. Les puissances disponibles vont de 105 à 200 chevaux. La boîte de vitesses automatisée Stronic à deux embrayages transmet la force aux quatre roues. Audi est resté fidèle à sa célèbre ligne de conduite : l’A3 Cabriolet possède elle aussi une capote classique en tissu. Celle-ci est tendue sur une structure métallique mobile, qui garantit à la fois un ajustement optimal et une parfaite étanchéité et confère au cabriolet une silhouette digne d’un coupé. La grande lunette arrière en verre dégivrant dégage efficacement la vue vers l’arrière. Audi propose sa capote en tissu en deux versions : un soft top semi-automatique et une capote entièrement automatique. Dans les deux cas, la capote est actionnée par une pompe à haute pression et deux vérins hydrauliques, qui assurent l’extrême rapidité de son ouverture : en neuf secondes !

5. Mini : capote en toile !

C’est lors du printemps 2004 qu’est lancée la Mini Cabrio, trois ans après la Mini berline, mais, avec l’arrivée de la nouvelle famille Mini à la fin de l’été 2010, la technologie Diesel faisait enfin ses débuts sur le modèle découvrable de la marque. En effet, la Mini Cooper D Cabrio associe l’efficacité du nouveau turbo Diesel au plaisir de rouler cheveux au vent. Départ arrêté, la Mini Cooper D Cabrio met 10,2 secondes pour franchir le cap des 100 km/h et elle atteint une vitesse de pointe de 194 km/h. Le tempérament sportif de cette variante s’accompagne d’une consommation de carburant moyenne de 4,0 litres aux 100 kilomètres, selon le cycle européen, et d’émissions de CO2 de 105 grammes par kilomètre. L’apparition de ce moteur s’accompagnait de modifications esthétiques marquantes.

6. Audi A5 : capote en toile !

Comme tous les modèles découvrables d’Audi, le cabriolet A5, lancé au printemps 2009, dispose d’une capote classique en tissu. Cele-ci est en effet sensiblement moins lourde qu’un toit en tôle, ce qui réduit le poids total du cabriolet et abaisse le centre de gravité de ce dernier. De plus, une fois repliée, la capote souple occupe nettement moins de place que ne le ferait un toit « en dur », procurant le double avantage d’un plus grand espace de bagages et d’une esthétique plus légère de l’arrière de la voiture. Sur l’A5, la capote se replie, de façon extrêmement compacte, sous un couvercle rigide. Le caisson de la capote, qui se rabat cette fois automatiquement dans le coffre, n’occupe que quelques centimètres de hauteur et seulement 60 des 380 l du volume du coffre.
Sur les sièges climatisés, de petits ventilateurs et un chauffage automatique additionnel procurent un bien-être de haut standing. Le chauffage de l’espace pour la tête y est intégré : des gaines sur la face supérieure du dossier diffusent de l’air chaud sur l’arrière de la tête et la nuque. Un choix de neuf moteurs puissants, un châssis réactif et une large palette d’options font de l’A5 le cabriolet le plus attrayant du segment moyen. Le modèle phare de la nouvelle série de décapotables Audi est le cabriolet S5.  Il est doté du moteur V6 de 3 litres suralimenté à injection directe d’essence (333 chevaux, ça décoiffe !).

7. Volvo C70 : toit en dur !

C’est également en 2009 que Volvo présentait la nouvelle C70 qui, par rapport au modèle précédent, rejoignait le camp des toits en dur avec un ingénieux toit rétractable en trois parties en acier. Pour ouvrir ou fermer le toit, la voiture doit être à l’arrêt. Il ne faut que 2 mètres d’espace vertical libre pour ouvrir ou fermer le toit. Le couvercle de malle possède deux modes d’ouverture : pour livrer le passage au toit et pour permettre l’accès au coffre. L’absence de toit fixe a été largement compensée par des renforts structurels et une technologie de pointe. La Volvo C70 possède de robustes arceaux métalliques capables de surgir derrière les passagers arrière afin de créer un vaste cocon de survie en cas de tonneau. Ces arceaux sont activés par un capteur gyroscopique. La lunette arrière de la C70 étant en verre, les arceaux doivent se dresser à travers la vitre si le toit est relevé. Ils ont donc été équipés de petites pointes de métal qui brisent la vitre afin d’assurer une protection optimale. Grâce à des moteurs modernes et à des technologies avancées de purification des émissions de CO2, les Volvo combinent performances élevées et impact environnemental réduit. La C70 est disponible avec trois moteurs à essence et deux Diesel.

8. BMW Série 3 : toit désormais en dur !

Alors qu’un cabriolet apparaît déjà dans la deuxième génération de la Série 3 dès le milieu des années 80, depuis mars 2007, un peu à la surprise générale, BMW propose non plus une capote en toile, mais un toit rigide rétractable, au point qu’il n’est pas toujours évident de faire la différence entre un Coupé et un Cabriolet. Grâce à la vue panoramique optimisée entre autres par les grandes surfaces vitrées, le Cabriolet crée d’ailleurs une ambiance de coupé à bord. Le toit de construction légère en trois parties se déplie automatiquement pour fermer l’habitacle en seulement 23 secondes, ou disparaît encore plus rapidement dans le coffre du modèle ouvert, en 22 secondes exactement. Grâce à ce toit en trois éléments, la décapotable se prête donc sans aucune restric­tion à un usage toutes saisons et offre un confort acoustique exceptionnel à ses occupants. Une fois le toit rigide escamoté dans le coffre, le conducteur et le passager avant savourent une ambiance « plein air » incomparable favorisée par la ligne basse, la position assise reculée et le pare-brise court. Cette con­ception assure une impression de liberté maximale. Le cadre du pare-brise est à bonne distance de la tête du conducteur et du passager avant. Rien n’empêche les rayons de soleil et le vent d’entrer dans l’habitacle. Du côté des moteurs, on a droit à pratiquement toute la panoplie, depuis le Diesel à 4 cylindres de 2 litres jusqu’au V8 de 420 chevaux de la version M…

9. BMW Z4 : roadster à toit en dur !

Premier et seul roadster (2 places) dans le top 10 des voitures découvrables, le BMW Z4 crée aussi la surprise lors de sa présentation, en décembre 2008, en adoptant, lui aussi, le toit rigide rétractable, comme son principal rival, le Mercedes SLK, prenant ainsi la succession en même temps de la précédente génération Z4 Roadster et Z4 Coupé : c’est la version « deux en un » ! C’est la seule voiture de son segment à associer les proportions classiques du road­ster avec une position assise reculée de sorte à être tout près de l’essieu arrière, avec la transmission aux roues arrière et un toit rigide rétractable à commande entièrement automatique. Toit rétracté, la biplace offre un contact intense avec le soleil et le vent, toit refermé, elle atteint le niveau de confort d’un coupé sportif du segment de  prestige. Les coques d’aluminium constituant le toit rigide rétractable léger en deux éléments se rangent en 20 secondes sur un espace réduit dans la partie arrière. Par rapport à sa devancière, grâce à ce choix de toit en dur, les dimensions des vitres latérales se sont accrues de 40%, la surface utile de la lunette arrière a aug­menté de 52% et la visibilité tous azimuts de 14%. La lunette arrière en verre du toit rigide rétractable est à chauffage électrique et les quatre vitres latérales de la nouvelle BMW Z4 sont individuellement escamo­tables. Le seul pas que BMW n’a pas encore osé franchir, c’est de monter un moteur Diesel sous le long capot du Z4 : on n’a droit qu’à des 6 cylindres en ligne de 2,3, 3,0 et 3,5 litres bénéficiant des développements EfficientDynamics pour offrir un rapport performances/consommation très respectable.

10. Renault Mégane : toit en verre !

Par rapport à ses concurrentes, la nouvelle Renault Mégane Coupé-Cabriolet, présentée en mai 2010, se distingue par son immense toit en verre escamotable. Déjà très apprécié (en option !) sur la version précédente pour sa luminosité et la visibilité offerte sur l’extérieur, ce toit est reconduit en série sur la nouvelle génération. Il s’agrandit même de 10%. Son traitement sombre et ses montants noir associés à la finition chrome satiné de l’entourage de pare-brise et de la ceinture d’habitacle, apportent une touche haut de gamme et permettent de « lire » visuellement le cabriolet, même en position coupé. Véritable trait d’union entre le coupé et le cabriolet, ce toit en verre prolonge le plaisir du cabriolet en position coupé, en apportant une grande luminosité dans l’habitacle et en procurant une sensation d’espace et de liberté au conducteur et aux passagers, d’autant plus que la traverse supérieure de pare-brise a été avancée de 6 cm par rapport à la précédente génération. Pour assurer une filtration optimum de la lumière dans l’habitacle, le toit en verre est traité contre le rayonnement solaire avec du verre trempé à coefficient de filtrage 35. Un rideau pare-soleil fixé dans la traverse arrière complète la protection solaire. Par rapport à une capote en toile, le toit en verre rétractable assure un confort thermique et acoustique équivalent à celui d’une berline, ainsi qu’une meilleure protection contre le vandalisme. Par ailleurs, un toit dur assure une plus grande valeur de revente. Voilà des arguments pour alimenter la polémique entre les partisans du toit en dur et les défenseurs du toit en toile…

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