Les plus grands bad boys du showbiz

Info | L'industrie de la musique a ses mauvais garçons !

De Pickx

Publié le 01.05.11

3min

Vous pensiez être le pire hooligan de votre quartier ? Le bad boy le plus rebelle du coin ? Oubliez cette idée car certains chanteurs et certaines chanteuses ont certainement déjà dépassé cette limite. Et oui, même les stars sont déjà passées par la case prison. Par exemple, Marion 'Suge' Knight ici en photo, célèbre producteur de hip-hop américain, a agressé son amie au couteau en pleine rue en 2008 au cours d’une dispute banale. Pas de bol pour Suge car il a brandi sa mini-machette au moment où les agents de police sont arrivés. Double malchance : ses poches débordaient d’ecstasy et d’Hydrocodone. Sont depuis lors encadrés dans ses toilettes : des condamnations pour attaque avec une arme létale, coups et blessures, violence conjugale et détention de stupéfiants.

Fumeur occasionnel

Lil Wayne a tout connu : les récompenses, l’argent, les supers nanas, les disques qui se vendent comme des petits pains, et… la prison. L’année dernière, il a passé quelques mois derrière les verrous pour détention de stupéfiants, ce qui l’a fait plutôt rire. « Je suis un fumeur occasionnel » : telle était sa réponse. Pendant un contrôle routier en 2008, un chien de la brigade des stupéfiants a trouvé 105 grammes de marijuana, 29 grammes de cocaïne et 41 grammes d’ecstasy dans son bus de tournée, ainsi que quelques armes illicites. Non, on ne peut plus dire que c’est occasionnel. Depuis lors, Lil bénéficie d’une liberté conditionnelle jusqu’en juin 2013.

Jeté de pénis

Oh yeah, Marilyn Manson a aussi fait quelque chose de travers. En juillet 2001, il a donné un concert à Detroit, durant lequel il a agité ses bijoux de famille à la tête d’un agent de sécurité. Tout ça pour assurer le spectacle, ce qui a fonctionné puisque le public s’est emballé, mais le destinataire a évidemment gardé un arrière-goût amer de l’incident. Quelques semaines plus tard, Marilyn a été condamné pour comportement sexuel criminel et à une amende de 4000 dollars.

Même les meilleurs…

Un bon gars comme Jay-Z n’est quand même pas un petit criminel ? Il a bien trop de choses en jeu ? En décembre 1999, Shawn Carter a été arrêté pour avoir poignardé un géant de l’industrie du disque. Et pas simplement. Au lieu de le faire dans un endroit calme où personne ne pouvait le voir, Jay-Z l’a tué froidement devant l’entrée d’une discothèque très fréquentée de New York. Jay s’en est finalement pas mal tiré puisqu’il n’a reçu qu’une peine de 3 ans avec sursis.

Chauffard

Le rodéo avec une voiture volée, le ‘joyriding’, tout le monde en a déjà entendu parler mais personne ne le fait. Sauf Earl Simmons. DMX, de son nom de scène, a été arrêté en juin 2008 par la police de Floride parce qu’il roulait depuis des semaines avec un permis de conduire non valable. De plus, il a obtenu condamnation pour conduite imprudente, mise en danger des passagers et excès de vitesse (DMX faisait « un petit » 180 au lieu de 100).

Aux armes !

Aux États-Unis, Eminem est l’exemple par excellence du white trash qui s’est hissé à la force des poignets dans la société. Mais au fond de lui, il reste un habitant de caravane frustré. En 2000, il a tabassé un homme qui avait embrassé son ex-femme et l’a menacé avec une arme illicite. Quelques semaines plus tard, il remettait ça, quand des membres du Insane Clown Posse se sont retrouvés tout à coup au bout d’un fusil sur un terrain de parking, avec Eminem du bon côté du canon. Em a été arrêté deux fois et a bien ri de sa condamnation les deux fois.

La main légère

Nous parlions du white trash, mais on peut toujours en dire plus. En octobre 2007, Kid Rock et son équipe avaient envie de gaufres après une représentation. Rien de mal à ça, pensez-vous. Cependant, ils ont passé à tabac un autre client parce que celui-ci avait manifestement regardé Kid Rock de travers. Nous avions déjà découvert la main légère de Kid trois ans auparavant. En effet, en 2005, il a envoyé à l’hôpital le DJ d’un club de striptease local. Si sa carrière musicale va mal, il pourra toujours aller en apprentissage chez Sugar Jackson…

La tête près du bonnet

Akon a vraiment la tête près du bonnet. En décembre 2007, Akon s’était une fois fait berner pour ses mugshots, comme s’il allait à un bal de gala. C’est ce que l’on appelle avoir le sens de l’humour. Pourtant il n’avait pas été question de gala auparavant. Lors d’une représentation en juin 2007, un fan de 15 ans a dit quelque chose au chanteur qu’il l’a fait littéralement exploser. Akon lui a d’abord demandé de monter sur scène avant de le jeter à terre. Il a été accusé pour ça d’avoir « mis en danger la vie d’un mineur ».

Sale type

Par quoi commencer quand il s’agit d’Ol' Dirty Bastard ? Comment pourrait-il en être autrement avec un nom pareil ? À son actif : coups et blessures, fusillades, tentative de meurtre, tir ciblé sur deux agents de police parce qu’il roulait sans phares en pleine nuit (!), violence conjugale, vol à l’étalage et conduite sans permis. Ah oui, nous en oublions presque les menaces terroristes qu’il a exprimées à l’encontre des gérants d’une discothèque de Hollywood après avoir été expulsé complètement ivre.

Trous de mémoire

Certaines choses ne pardonnent pas, même lorsque l’on s’appelle Snoop Dogg. En novembre 2006, il a été pris à partie avec une grande démonstration de force par les douaniers du John Wayne Airport en Californie parce qu’il essayait de faire passer une arme illicite en fraude dans un avion. Il s’agissait d’un bâton de combat pliable. On ne saura jamais ce que Snoop avait l’intention de faire à bord avec cet objet. Sa défense : « J’avais oublié que cet objet se trouvait dans mon sac ». Snoop qui oublie des choses, ça peut être crédible.