Les plus belles Aston Martin

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Aston Martin... Immanquablement, on imagine James Bond, top classe, poursuivre des très méchants pas beaux et gagner à la fin. Mais Aston Martin, c'est avant tout une histoire, qui traverse tout le XXe siècle, faite de hauts et de bas, de succès et d'échecs, avec, toujours, un leitmotiv : la beauté...

Il était une fois...

Lionel Martin. Garagiste avec Robert Banfort, les deux hommes mettent au point un véhicule qui permet à Lionel Martin de remporter contre toute attente d'Aston-Clinton. L'année suivante, les deux compères créent Aston (comme la course) Martin (comme son nom de famille). L'entreprise connaîtra beaucoup de difficultés jusqu'à l'arrivée d'A.C. Bartelli. Qui va produire des voitures plus haut de gamme, comme cette International, datant de 1922...

David Brown, le sauveur

Après guerre, l'entreprise se retrouvait, encore une fois, dans de sales draps. Dans le Times, David Brown répond à une annonce anonyme : une fabrique de voitures était à vendre. Rapidement, David Brown reprend l'entreprise, en rachète une autre (Lagonda), rajoute "DB" aux Aston et sort la Aston Martin Two Litre Sports, rebaptisé plus tard DB1. En voici l'intérieur...

DB4, la révolution

Dix ans plus tard, en 1958, au Salon de Paris, le monde est abasourdi par la nouvelle création d'Aston Martin : la DB4. La légende James Bond ne va pas tarder à envahir le monde Aston Martin...

La DB5, arme secrète de James Bond

C'est Ian Fleming lui-même qui introduit la marque dans le roman "Goldfinger". L'adaptation cinématographique ne déroge pas au souhait du papa de James Bond. Petit souci : la DB III Mark que l'agent 007 conduit dans le roman n'est plus en circulation au moment où la production du film commence. James Bond hérite donc de cette magnifique Aston Martin deux places "tunnée" par Q., forcément...

Aston Martin DBSV8

Pour toucher un public-cible désireux d'une plus grande vitesse, David Brown travailla sur des moteurs V8. Conséquence logique : sortie des DBSV8. Admirez ce modèle un peu spécial : c'est une Ogle, du nom d'un designer bien connu à l'époque...

Un "Virage" tant attendu

Pendant 18 ans, entre les V8 et ce modèle-ci, Aston Martin s'est littéralement tourné les pouces. Entre crises pétrolières et crises financières, les temps étaient durs. L'entreprise avait besoin d'un "Virage" : le voici, sorti en 1988...

DB7 V12 Vantage, le chef d'oeuvre

Le management d'Aston Martin s'en est rendu compte, un peu tard : vendre des voitures onéreuses est assez compliqué. Il fallait un coup de force, nouveau modèle aux ligne pures : voici la DB7 V12 Vantage, pour les fans, peut-être la plus belle des Aston Martin. Un succès commercial jamais démenti.

DB7 V12 Vantage Zagato

La DB7 a littéralement sauvé Aston Martin de la faillite. Sans ce modèle (est ses multiples déclinaisons : ici la Zagato), Aston Martin aurait périclité...

Merci agent 007 !

En respectable agent de Sa Majesté, James Bond aime parader en Aston Martin. S'il lui est arrivé de faire quelques incartades, il est récemment revenu au bercail, enchainant trois films aux volants d'Aston Martin. Voici la Vanquish que l'on pouvait admirer dans "Die Another Day".

Casino Royale

Dans Casino Royale, l'ami Daniel Craig confesse ses douleurs intérieurs au volant de la magnifique DBS V12. Il en a de la chance, le James Bond. Et dans "Quantum of Solace", le tout nouveau Bond qui doit sortir chez nous en novembre, c'est la même voiture que Bond conduire. Elle est dure, la vie chère...

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