'La théorie du Y', la web-série qui s'attaque aux stéréotypes entourant la bisexualité

Séries | 'La théorie du Y', une websérie des Bruxellois Caroline Taillet et Martin Landmeters, a bouleversé le paysage audiovisuel belge en 2016 par sa faculté à s'attaquer aux stéréotypes entourant l'orientation sexuelle d'une partie de la population : la bisexualité.

De Pickx

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Adaptée de la pièce de théâtre éponyme, 'La Théorie du Y' explore avec humour et délicatesse les désirs et les amours d'aujourd'hui. Dans les faits, le programme multi-primé de la RTBF, créé par Caroline Taillet et Martin Landmeters, se penche sur la bixesualité et les stéréotypes qui l'entoure. Depuis le début de l'aventure en 2016, trois saisons ont vu le jour et se sont intéressées à l'histoire d'Anna (saison 1 et 2) et à celle de Gaspard (saison 3) dans cette toute première série queer francophone belge.

De nombreuses thématiques abordées

Plusieurs millions de personnes ont déjà répondu à l'appel de cette web-série LGBTQIA+ qui aborde donc aussi bien la bixexualité féminine que masculine. Cette oeuvre de fiction télévisuelle a été saluée également pour ses nombreuses thématiques actuelles abordées telles que l'ouverture de couple, la masculinité, le polyamour, la transidentité ou encore la PMA.

En mars 2020, dans le cadre du festival Lesborama, dédié aux films lesbiens, bisexuels, trans et féministes, une exposition nommée "Inverties - Amours entre Femmes" avait également vu le jour dans le contexte de la saison 2. Cette exposition présentait onze portraits photographiques, accompagnés d'une interview, de femmes qui aiment les femmes. Le voile de leur intimité avait été levée pour briser les clichés entourant leur sexualité, à travers des thèmes aussi divers que la masturbation, le féminisme, la pornographie, les clichés et l'attraction.

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Attention : regarder la télévision peut freiner le développement des enfants de moins de 3 ans, même lorsqu’il s’agit de programmes qui s’adressent spécifiquement à eux. Plusieurs troubles du développement ont été scientifiquement observés tels que passivité, retards de langage, agitation, troubles du sommeil, troubles de la concentration et dépendance aux écrans

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