De ‘Culture Club’ à ‘C’est Toujours Pas Sorcier’, Cécile Djunga est en pleine ascension du petit écran

Cinéma |

Depuis que la RTBF a donné un coup de jeune sur une de ses chaînes, elle est celle que l’on voit partout. De Miss Météo à co-présentatrice dans ‘C’est Toujours Pas Sorcier’ sur France 4 en passant par le ‘Culture Club’ sur Tipik tous les mercredis, Cécile Djunga a réussi à se faire une place dans le monde de la télévision. 

De Pickx

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Ses débuts à la météo

Pour la RTBF, elle était d’abord Miss Météo pendant tout un temps. Après plus d’un an à avoir exercé ce métier, la jeune femme était victime de racisme et de messages haineux sur les réseaux sociaux. Mais ce qui a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase était l’appel d’une dame à la RTBF qui lui reprochait d’être trop noire."Il y a une dame qui a appelé pour dire que j'étais trop noire, qu'on ne voyait rien à l'écran, qu'on ne voyait que mes vêtements et que je ne passais pas bien à la télé parce que j'étais trop noire et qu'il fallait me le dire," s’indigne-t-elle sur les ondes de la RTBF.

En 2018, elle décide de réagir et diffuse sur internet une vidéo où elle s’exprime sur le racisme dont elle est victime. Depuis que sa vidéo est devenue virale, elle est une artiste engagée qui utilise l’humour pour véhiculer des messages de paix et de tolérance. Captant l’attention de tous et unissant un nombre incalculables de personnes à sa cause, elle est de plus en plus sollicitée. En janvier 2020, elle abandonne ses fonctions de Miss météo à cause de son agenda bien chargé entre ses activités sur scène et en télé.

Carrière de comédienne

Depuis qu’elle a été révélée par le ‘Jamel Comedy Club’, la jeune comédienne ne quitte pas les planches de théâtre. Elle est déjà à son deuxième one-woman show qu’elle joue en Belgique et France, intitulé ‘Presque Célèbre’. Sur fond musical, pas de danse et blagues, Cécile Djunga emmène son public sur les chemins de la gloire, elle décrit le terrible parcours du combattant pour devenir célèbre ou presque. 

Au-delà des télévisions belges

Depuis le début de l’automne Cécile Djunga est à la tête de talk-show culturel proposé par Tipik. En compagnie de sa bande de copains, Vincent Billaroch, Marine Guiest, Sélim Khemiss et Tangui Horel, les discussions sont centrées sur la culture. Grâce à son approche plus jeune et détendue, on est loin des programmes culturels proposés par La Trois. Ici le but est de gagner le pubic des ‘millenials’ en leur proposant de la culture mainstream. Devenue une véritable personnalité de la RTBF, l'ex madame météo est repérée par d’autres chaînes et d’autres contrées. 

Le peps, le dynamisme, la bonne humeur, l’humour et la répartie de Cécile Djunga ont l’air de plaire, mais pas seulement au niveau national. Voilà que notre compatriote commence tout doucement à s’exporter en France. Actuellement, on peut la voir sur le groupe TF1 & AB3 Belgique dans 'TATTOO COVER’, mais également dans la célèbre émission de vulgarisation scientifique pour les enfants ‘C’est pas sorcier’ dans une toute nouvelle version depuis 2019 appelée ‘C’est Toujours Pas Sorcier’. Depuis février, elle côtoie Michel Cymes en tant que chroniqueuse tous les dimanches sur France 2 pour l’émission 'Antidote'. Récemment des rumeurs courent qu’elle aurait participé aux auditions pour prendre la relève de Nagui dans ‘Tout le monde veut prendre sa place’ sur France 2. 
 

Regardez ‘Culture Club', tous les mercredis à à 22h22 sur Tipik ou sur Pickx.be ou l'app de Proximus Pickx. Via TV Replay, vous pouvez regarder le programme jusqu'à 36 heures plus tard quand vous le souhaitez, ou également sur le site ou l'app 7 jours après sa diffusion !

Regardez tout ce que vous aimez, où et quand vous voulez.

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Attention : regarder la télévision peut freiner le développement des enfants de moins de 3 ans, même lorsqu’il s’agit de programmes qui s’adressent spécifiquement à eux. Plusieurs troubles du développement ont été scientifiquement observés tels que passivité, retards de langage, agitation, troubles du sommeil, troubles de la concentration et dépendance aux écrans

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