Les meilleurs moments de ce Viva for Life 2020

Lundi, au pied de la Tour Reyers à Bruxelles, la chanteuse Typh Barrow est venue dans le cube pour interpréter quelques morceaux au piano. Parmi les chansons demandées par les donateurs, elle a repris ‘Dance Monkey’ de la chanteuse Tones and I. Sa version acoustique a mis les frissons à beaucoup d’auditeurs. 

Typh Barrow a ensuite interprété l’incontournable ‘Quand on a que l’amour’ de Jacques Brel. Un moment suspendu et plein d’émotion, à la fin duquel la chanteuse avait les larmes aux yeux. "Ca me fait penser à Maurane", a indiqué la chanteuse.

L’animatrice de Vivacité a découvert mardi le témoignage de Marie, une infirmière à domicile qui s’occupe seule de quatre enfants. À la suite d’une séparation, Marie est tombée dans la précarité du jour au lendemain. Sa priorité, c’est de nourrir ses enfants; or, elle n’a pas les moyens de faire des courses tous les jours. "Le lundi et le jeudi, ils m’attendent avec impatience parce qu’on mange. Les courses, c’est un cadeau, pour eux", a-t-elle expliqué au micro de Viva for Life. 

Mais cette infirmière, qui passe sa vie à s’occuper des autres, reste positive. Et elle consacre tout ce qu’elle a à ses enfants. "Mes enfants, c’est ce qui me fait tenir. Je trouve la force en eux. C’est moi qui suis censée porter mes enfants, et ce sont mes enfants qui me portent. Ça a créé un lien entre nous qui est indestructible. On s’aime vraiment très, très fort", a expliqué Marie. 

Sara De Paduwa n’a pas pu cacher son émotion face à ce témoignage. Les larmes aux yeux, l'animatrice a remercié Marie pour ses mots positifs: "Vous venez de me donner une leçon de vie". 

Patrick Bruel est venu soutenir les animateurs de Viva For Life vendredi dernier. Le chanteur français en a profité pour répondre à une interview touchante sur son enfance. Né en Algérie, Patrick Bruel est arrivé en région parisienne à 3 ans. Il y a grandi "dans des conditions pas très faciles", mais sa maman a toujours veillé à ce qu’il ne voie jamais les difficultés. Le chanteur confie donc avoir eu une enfance agréable, grâce à sa mère. Mais il ne nie pas avoir été toujours en contact avec la pauvreté, puisqu'il vivait dans une banlieue défavorisée.

Patrick Bruel a aussi raconté que, petit, il rêvait de devenir footballeur. Malgré son talent indéniable, sa famille n’a jamais voulu qu’il en fasse son métier. Par contre, le jour où il s’est mis à jouer de la guitare et à écrire des textes, il a eu tout le soutien familial. Et lorsqu’on lui demande quelle est l’odeur particulière de son enfance, le chanteur pointe celle des cigares au miel, les pâtisseries typiques de l'Afrique du Nord que faisait sa grand-mère.

Vincent Lagendries est venu rendre une petite visite à sa femme Ophélie Fontana dans le cube dimanche soir. Comme l’année dernière, le journaliste sportif avait réécrit plusieurs chansons en adaptant les paroles pour Viva for Life. Il a ainsi repris le tube ‘Alors regarde’ de Patrick Bruel. "Alors regarde, regarde un peu/ Tout ce qu’on peut faire en donnant, même un peu/Alors regarde, regarde un peu/ Oui, c’est bon de donner, ça rend heureux", a chanté Vincent Langendries. 

Il a ensuite interprété sa propre version de ‘Nous’ de Julien Doré. "Vous, vous, vous/Vous, on compte sur vous/Vous pouvez tout changer/ C’est Solidarité !". Avec son petit brin de voix, le journaliste n’a pas manqué d’envoyer un petit clin d’oeil à sa femme: "Et puis y a mon Ophélie/ Son sourire fait du bien". 

Après six jours de direct remplis de moments forts, Viva for Life se termine ce soir. Suivez le prime de clôture en direct à partir de 20h15 sur La Une.