L’Amour est dans le pré, épisode 8 : des larmes et deux abandons

Entre la douce Pascale et la pétillante Fabienne, la décision s’annonçait difficile pour Claude, le « cowboy » de l’émission. Les deux prétendantes ont rencontré les proches de l’agriculteur et s’entendent plus que bien entre elles. Après un dernier galop à cheval, Claude tranche : c’est Fabienne qu’il veut continuer à découvrir. Pascale, belle joueuse, félicite sa concurrente et leur souhaite beaucoup de bonheur.
 

La mission fut plus aisée pour Valentin. Alors que Louise avait déjà préféré s’en aller peu avant le premier choix de l’agriculteur, c’est Caroline qui lui annonce désormais qu’elle veut quitter l’aventure. La jeune femme avoue en effet que « le feeling ne passe pas » et qu’elle ne se sent pas à sa place. Une décision qui fait pleurer… Tiffany, sa rivale.
 

C’est donc avec cette dernière candidate que Valentin partira en voyage et, cette fois-ci, il compte bien se montrer plus entreprenant afin de gagner son cœur.

 

Rudy aurait dû lui aussi effectuer un choix, son premier de l’aventure, mais Linda décide de partir d’elle-même. Tout sauf une surprise, car la candidate avait déjà déclaré qu’elle ne se voyait pas vivre à la ferme et abandonner son mode de vie. 

Pierre-Henri et Simon, pour qui le choix final approche, ont en revanche affiché leurs préférences. Le cœur du producteur de purin d’orties semble en effet battre davantage pour Isabelle que pour Justine. Profitant d’un moment en tête-à-tête avec Pierre-Henri, la jeune femme lui a confié « n’avoir jamais ressenti ça pour quelqu’un ». Une impression partagée par le célibataire.
 

Même son de cloche du côté de Simon qui avait invité Élodie et Romina au restaurant. Une fois sur place, il n’a eu d’yeux que pour Élodie. Un comportement remarqué par la seconde prétendante et qui a aussitôt engendré un malaise, Romina sentant qu’elle ne serait sûrement pas le choix final de Simon. 
 

Quant à Denis, bien malin celui qui pourra deviner qui de Céline ou Laura aura la chance de partir à son bras, car le fromager ne laisse rien paraître…