The Cure : plus de 40 ans de nostalgie
De MF
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Leur premier single ?
« Killing an Arab » qui a suscité la controverse à cause du caractère raciste du titre qui ne l’est en réalité pas du tout. Le groupe britannique est toujours resté fidèle à ses racines : la noirceur, la mélancolie avec ça et là des soupçons de pop atypique comme dans leur tube « Friday I’m in Love » qui reflète le spleen et la nostalgie d’une époque qui n’a jamais existé. Entre 1979 et 2008 (année de sortie de leur dernier album « Dream ») ils nous ont offert un vaste univers musical à découvrir ou redécouvrir.
Les morceaux mythiques s’enfilent comme des perles, mais par quoi commencer ? Suivez par exemple l’ordre chronologique :
Un groupe particulier, parce que...
Des amis d’école qui décident de former un groupe… C’est une histoire connue… Voyons, réfléchissons… U2. Coldplay aussi. Et The Cure ? Oui, aussi. Mais de la mouture initiale (qui s’appelait alors Malice et faisait des reprises de David Bowie et Jimi Hendrix), il ne reste plus que Smith, bien que Simon Gallup (basse) ait également fait très longtemps partie du groupe. Quoi qu’il en soit, Malice est devenu The Easy Cure, puis The Cure. Lorsque quelque temps après sa création, le tout jeune groupe réussit à signer un contrat avec Hansa Records, il pensait que sa carrière était lancée. C’était sans compter sur les projets d’Hansa qui refusa par exemple de sortir « Killing An Arab ». Smith s’exprime à ce sujet : « Nous étions très jeunes. Ils pensaient qu’ils pouvaient faire de nous un groupe pour adolescents. En fait, ils voulaient nous faire faire des reprises et nous avons toujours refusé.»
Goth. Obscurité
S’il y a bien un élément que l’on assimile à The Cure, c’est l’obscurité. À Robert Smith aussi d’ailleurs, même s’il lutte lui-même contre cette image. En effet, Smith n’est pas l’homme sombre que l’on imagine : « J’écris lorsque je me sens dépressif et tout le monde pense alors que je le suis tout le temps, mais ce n’est pas le cas.» Et ce n’est pas tout : il trouve qu’assimiler The Cure au gothique est exagéré. Ce groupe ne se résume pas à un seul genre. Quoi qu’il en soit, on ne peut nier le rôle indéniable de Smith dans le développement de ce courant, y compris sur le plan visuel.
Disintegration 1990
The Cure est à l’affiche de T/W, encore appelé Torhout-Werchter à l’époque. Tout juste un an après la sortie de son album « Disintegration », l’un des meilleurs d’ailleurs, avec plus de trois millions d’exemplaires vendus. C’était une période très faste pour le groupe qui a sorti à ce moment-là des titres tels que « Lullaby », « Pictures of You », « Fascination Street », etc... Autant de tubes qui laissent clairement transparaître l’influence de la drogue. Smith était alors retombé dans la consommation d’hallucinogènes, comme le laisse entendre sa musique. Trois bonnes raisons d’aimer The Cure !
Les débuts ?
« Killing an Arab » Inspiré par le livre « L’étranger » d’Albert Camus et considéré (à tort) comme un ouvrage raciste.
Méga succès
Qui ne s’en souvient pas ? « Lullaby » (les arachnophobes s’abstiendront de préférence de regarder ce clip infesté de toiles d’araignée) fut l’un des plus grands tubes du groupe. Ce clip a d’ailleurs remporté le Brit Award du meilleur clip vidéo.
Live
Live ! Un concert de 2013, Lollapalooza. The Cure en pleine action. À ne pas manquer.
The Cure, là-bas !
Parfois, on aimerait remonter dans le temps. Un tel saut en arrière permettrait en effet de participer à certains événements auxquels on aurait vraiment voulu assister comme ici : The Cure, live en 1979. Un tout jeune groupe, à Paris.
Non, tout n’est pas toujours obscur !
Il arrive que les chansons de The Cure soient reprises. Par exemple par l’une des artistes les plus streamées au monde, Adele.
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