Voici les psychopathes les plus flippants du cinéma

Cinéma | Quelques psychopathes du cinéma qui ont laissé dans nos mémoires leur empreinte indélébile ...

De Pickx

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L'agent du FBI Clarice Starling, le tueur en série Buffalo Bill et le non moins démoniaque Hannibal Lecter, trois personnages inoubliables qui ont fait du thriller noir ‘Le silence des agneaux’ un chef-d'œuvre du genre. Clarice compte sur l’aide d’Hannibal pour arrêter le tueur en série mais comme Hannibal est lui-même un psychopathe à la mâchoire acérée, l’affaire se corse… Un bon thriller tient souvent à la personnalité de son méchant, qui doit être vraiment effrayant. Voici quelques psychopathes du cinéma qui ont laissé dans nos mémoires leur empreinte indélébile.
 

Anton Chigurh

Il y a quelques années, un sondage de grande envergure a été réalisé auprès des médecins légistes et des critiques de cinéma: qui est pour eux le psychopathe le plus réaliste du grand écran? Hannibal Lecter n’a pas fait le poids, car le psychopathe froid, réfléchi et intelligent est une exception dans la vie réelle. Selon eux, le tueur à gages Anton Chigurh (Javier Bardém) de ‘No Country for Old Men’ a le profil idéal. Le visage et le regard de ce personnage ont donné la chair de poule à des millions de spectateurs.
 

Max Cady

En 1962, le film ‘Cape Fear’ a fait sensation : Robert Mitchum incarne le psychopathe diabolique Max Cady dans ce thriller palpitant. Il veut se venger de Sam Bowden (Gregory Peck), un avocat qui l’a envoyé en prison. Et ce héros maléfique ne renonce ni au harcèlement, ni au viol, ni aux menaces ou aux meurtres pour parvenir à ses fins. En 1993, un remake moderne de ce film a été tourné avec Nick Nolte dans le rôle de l’avocat et Robert De Niro dans la peau du psychopathe encore plus pervers que l’original.

Frank Booth

Frank Booth est cet être vicieux qui effraie les autres personnages principaux de ‘Blue Velvet’, le thriller de David Lynch. Ce rôle, interprété par le regretté Dennis Hopper, occupe 36ème place dans le top 50 des pires salopards de l'American Film Institute, ce qui est une solide référence. Booth kidnappe le fils et le mari de Dorothy Vallens et exige que la malheureuse accepte tous ses caprices sexuels si elle veut revoir ses proches encore vivants. Déjà complètement givré, Frank Booth est aussi un pervers à la double personnalité: parfois, il se glisse dans la peau de 'Papa', un sadique qui frappe et rabaisse Dorothy. A d’autres moments, il prétend être ‘bébé’ et il la viole, en l’obligeant à enrouler un morceau de velours bleu autour de son cou. Dans le film, Dennis Hopper prononce le mot 'fuck' un nombre incalculable de fois, mais sans battre le record du ‘Loup de Wall Street'.

Alex DeLarge

Le cerveau malade d'Alex DeLarge est au cœur du film ‘Orange mécanique’ de Stanley Kubrick. Ce personnage et ses amis laissent derrière eux une traînée de violence nihiliste dans les rues anglaises: ils vandalisent, terrorisent des innocents et violent des femmes. Le film a provoqué un énorme tollé à sa sortie, en 1962, à cause du malaise provoqué par l’accumulation de scènes violente, avant de devenir un classique incontesté du cinéma.

John Doe

Kevin Spacey a fait très forte impression dans le thriller psychologique ‘Se7en’, dans lequel il incarnait un psychopathe obsédé par les sept péchés capitaux qui commet un meurtre horrible pour expier chacun de ces péchés. Certain de commettre ses crimes au nom de Dieu, le personnage de John Doe a marqué comme peu d’autres l’histoire du thriller.

Patrick Bateman

Christian Bale a mis toute son âme pour incarner Patrick Bateman dans ‘American Psycho’, une adaptation cinématographique du livre de Brett Easton Ellis. Patrick est un banquier qui mène une double vie: lors de son temps libre, il commet des meurtres atroces. Pendant qu’il commet ces crimes, il se lance dans de longs monologues sur sa musique préférée. Et quand il raconte à ses amis qu'il est un tueur en série, tout le monde croit qu'il plaisante.

Jack Torrance

C’est en 1980 que sort ‘The Shining’, de Stanley Kubrick. Jack Nicholson y incarne l'inimitable Jack Torrance, un écrivain qui se rend dans un hôtel isolé avec sa famille pour retrouver l'inspiration. Il souffre de cauchemars effrayants et se transforme lentement en psychopathe dangereux. Les fauteuils de nombreux cinéphiles tremblent encore d’avoir visionné la scène où Jack passe la tête par une porte défoncée en disant  «Here's Johnny». Et dire que Stephen King n'a pas aimé cette adaptation de son livre …

Norman Bates

Quand Anthony Perkins est devenu une star, le cœur de nombreuses  femmes s’est mis à battre plus vite. Jusqu'à ce qu'Alfred Hitchcock le choisisse pour interpréter Norman Bates dans ‘Psycho’. Un personnage tellement marquant qu’Anthony Perkins a passé le reste de sa carrière à essayer de faire oublier l'image de ce monstre. Pourtant, Norman Bates paraît à la base tout à fait normal, et c’est ce qui fait tout le sel de ce rôle. Hitchcock partait en effet du point de vue qu’un psychopathe pouvait parfaitement ressembler à Monsieur-tout-le-monde...

Annie Wilkes

Aimer exagérément votre héroïne, peut vous mener en enfer. C'est ce que nous apprend Annie Wilkes (Kathy Bates) dans le film ‘Misery’. Annie, une infirmière bien sous tous rapports, perd la tête lorsqu’elle elle découvre que son écrivain a fait mourir l’héroïne qu’elle aime tant dans son dernier livre. Elle décide alors de faire de l’écrivain son prisonnier, de l’obliger à écrire un livre qui fera revivre le personnage de Misery et de laisser libre cours à ses instincts les plus sadiques. Dans une des scènes les plus fameuses du film, elle murmure "Je t'aime" à l'oreille de l’écrivain pendant qu’elle lui casse les jambes. Kathy Bates a remporté un Oscar pour ce rôle franchement troublant.

Regardez tout ce que vous aimez, où et quand vous voulez.

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