Les rôles marquants d’Al Pacino

De Pickx

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Ce 25 avril 2015, Alfred James Pacino de son vrai nom soufflera ses 75 bougies. Nous profitons de cette occasion pour revenir sur sa carrière truffée de succès. Véritable icône du cinéma américain depuis ses débuts dans les années 70, ce Sicilien d'origine né dans le Bronx a conquis Hollywood.

Nous avons sélectionné dans ce dossier quelques-uns de ses rôles mythiques !

Le Parrain

Impossible d’évoquer les débuts d’Al Pacino sans penser immédiatement à son rôle de Michael Corleone dans Le Parrain, datant de 1972. Le réalisateur Francis Ford Coppola fait alors confiance à cet acteur italien jusque-là  inconnu du grand public. Al Pacino vole ainsi la vedette à Robert Redford, Jack Nicholson et Robert De Niro, également en lice.

Ce film de mafia rencontre un succès sans précédent, permettant à Al Pacino d’être nominé pour l’Oscar du meilleur second rôle.
Deux ans plus tard, une suite est tournée.

Serpico

Au lieu de s’engouffrer dans les films commerciaux à gros cachet, Al Pacino trace sa propre trajectoire après le succès de Le Parrain.

Tourné en 1973, Serpico est un film biographique sur l’officier de la police de New York Frank Serpico, qui a dénoncé ses pairs et témoigné dans une affaire de corruption contre la police. Al Pacino est nominé aux Oscars en tant que meilleur acteur.

Un après-midi de chien

En 1975, Al Pacino retrouve le réalisateur Sidney Lumet avec qui il avait tourné Serpico pour collaborer sur le projet Un après-midi de chien.

Librement inspiré de faits réels, le film raconte l'histoire d'un braquage de banque. Al Pacino y joue le rôle de voleur, qui lui vaut une nouvelle fois une nomination aux Oscars en tant que meilleur acteur.
Pour la troisième année consécutive, il voit la statuette lui passer sous le nez !

Scarface

Après une enième nomination aux Oscars pour Justice pour tous en 1979, Al Pacino enchaîne plusieurs films au succès mitigé.

C’est en 1983 qu’il marque durablement les esprits grâce à son rôle culte dans le film d’une rare violence Scarface, dans lequel il incarne un gangster cubain émigré aux Etats-Unis, dénommé Tony Montana, sous la direction de Brian De Palma.

Dick Tracy

Après Scarface, Al Pacino fait l’erreur de tourner Revolution, d’autant qu’il tombe malade sur le tournage. Après plusieurs années sur les planches de théâtre, il revient face caméra pour tourner le troisième volet de Le Parrain en 1990.

Cette même année, il s’essaye à la comédie pour la toute première fois de sa carrière avec Dick Tracy. Le réalisateur Warren Beaty y adapte à l’écran les aventures du célèbre détective de bande-dessinée. Al Pacino est une nouvelle fois nominé aux Oscars en tant que meilleur second rôle.

Glengarry

Deux ans plus tard, Al Pacino est à nouveau nominé en tant que meilleur acteur dans un second rôle pour Glengarry.
Ce film, basé sur une pièce de théâtre de 1982, raconte l’histoire d'une importante société immobilière en pleine crise économique. Al Pacino y joue l’un des vendeurs menacés de licenciement.

Le temps d’un week-end

En 1993, Al Pacino est nominé à deux reprises pour les Oscars. La première en tant que meilleur second rôle pour Glengarry mais également en tant que meilleur acteur pour Le temps d’un week-end. Vingt ans après sa première nomination, Al Pacino est enfin sacré meilleur acteur !

Le temps d’un week-end, signé Martin Brest, raconte l’histoire d’un colonel retraité, devenu aveugle, qui vit un week-end exceptionnel lorsque Charles, un étudiant aspirant à entrer à Harvard, accepte de s’en occuper.  L’interprétation d’Al Pacino dans ce rôle de vieux bougon reste gravée dans les annales !

Heat

Après L’Impasse, de Brian De Palma, en 1993, Al Pacino enchaîne en 1995 avec un autre drame criminel : Heat. Dans ce film de Michael Mann, il partage l'affiche avec Robert De Niro, même s’ils n’ont que quelques scènes ensemble. 
Une fois n’est pas coutume, Al Pacino est du côté des “gentils”, car il incarne un lieutenant aux trousses d’une bande de braqueurs.

Révélations

Après une tentative en tant que réalisateur avec le film Looking for Richard puis ses rôles aux côtés de Johnny Depp (Donnie Brasco) et Keanu Reeves (L’Avocat du Diable), Al Pacino retrouve Michael Menn en 1999 pour le thriller politique Révélations.

Ici, Al Pacino joue le rôle d’un journaliste qui enquête sur le fabricant de cigarettes Philip Morris et révèle les pratiques douteuses de l’industrie du tabac. Le film, basé sur une histoire vraie, se voit nominé dans sept catégories aux Oscars !

L’Enfer du dimanche

En 1999 toujours, Al Pacino obtient d’excellentes critiques pour son rôle dramatique dans L’Enfer du dimanche, signé Oliver Stone, dans lequel il incarne le personnage de Tony D’Amato, coach de l’équipe de football américain Miami Sharks.
Il y donne la réplique à Cameron Diaz, Dennis Quaid et Jamie Foxx.

Insomnia

En 2002, Al Pacino joue le rôle principal dans Insomnia, thriller sombre de Christopher Nolan qui est en réalité le remake d’un film norvégien.

Il s’agit de l’histoire de deux détectives envoyés dans le nord de l’Alaska pour enquêter sur l’assassinat d’une adolescente. Il partage l’affiche avec l’excellent Robin Williams.

La Recrue

Dans ce film de 2003, Al Pacino joue le rôle de Walter Burke, agent de la CIA, qui forme de manière peu orthodoxe une nouvelle recrue prometteuse, incarnée par Colin Farrell. La Recrue rencontre un franc succès, tant auprès des critiques que du public.

Angels in America

Dans les années 2000, Al Pacino rejoint les plateaux de quelques blockbusters tels qu’Ocean’s Thirteen (en 2007) et tourne pour la télévision. Il joue ainsi dans la mini-série HBO intitulée Angels in America (en 2003), qui traite de la crise du sida dans les années 80 ; un rôle qui lui vaut un Golden Globe ainsi qu’un Emmy Award.

Il marque également les esprits en incarnant le personnage de Jack Kevorkian, pionnier dans le domaine de l’euthanasie, dans le téléfilm biographique You Do not Know Jack (en 2010), puis dans le téléfilm Phil Spector (en 2013).

Cette année, Al Pacino sera à l’affiche du drame musical Danny Collins, de Dan Fogelman.

Vie privée

Al Pacino est l'éternel célibataire d'Hollywood, car il ne s’est jamais laissé mettre la bague au doigt. Néanmoins, il a entretenu une longue relation avec Diane Keaton, sa partenaire dans la trilogie Le Parrain.

Désormais papa de trois enfants ; une fille, Julie Marie (née 1989), qu'il a eue avec sa coach de comédie Jan Tarrant et les jumeaux Anton James et Olivia Rose (nés en 2001), avec l'actrice Beverly D'Angelo.

Aujourd'hui, il est un couple avec l’actrice argentine Lucila Sola, qui est de 39 ans sa cadette !

Regardez tout ce que vous aimez, où et quand vous voulez.

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