Ces tubes composés sous influence de drogues

Musique | Ces tubes composés sous influence de drogues

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Les artistes le savent bien: la musique et les drogues s'accordent bien. Les Rolling Stones, par exemple, sont des habitués de ce mélange. Ce n'est pas vraiment une surprise: peut-on vraiment imaginer Keith Richards sobre et clean? Leur titre "Jumpin' Jack Flash", composé en 1968, parle d'ailleurs d'une addiction à l'héroine. Quelques années plus tard, Keith a prétendu que la chanson parlait du jardinier de Mick Jagger. Mais oui...

Junk

"Space Oddity" (1969) de David Bowie a certainement été crée sous influence. D'abord parce que le chanteur et compositeur se faisait appeler The Thin White Duke (en référence à la cocaïne). Ensuite parce qu'il a avoué avoir été accro pendant des années à la poudre blanche. Officiellement, "Space Oddity est inspiré du film '2001: 'L'Odyssée de l'espace' mais il ne faut pas chercher loin pour comprendre que le Major Tom de la chanson est en réalité un junkie.

Kouchie ou Dutchie

Grâce à Musical Youth et son titre "Pass the Dutchie" en 1982, le terme 'Dutchie' a changé de sens! A l'origine, la chanson s'intitulait "Pass the Kouchie" (c'est le nom d'une pipe jamaïcaine utilisée pour fumer la marijuanaà mais le groupe de reggae trouvait que 'Dutchie' sonnait mieux et plus international. C'est devenu une ôde aux drogues douces.

The Fab Four

Les Beatles aussi ont touché à la drogue. L'un de leurs titres composé sous influence? "Yellow Submarine" mais il en existe beaucoup d'autres. Pourtant, quand on regarde Paul McCartney aujourd'hui, on a du mal à l'imaginer drogué, n'est-ce pas?

Au pays des Merveilles

Ce n'est évidemment pas un hasard si cette liste est pleine de hits des années 60 et 70. Encore un: "White Rabbit" de Jefferson Airplane. C'est une version déjantée d'Alice au pays des Merveilles.Grace Slick a avoué quelques décennies plus tard que lui et son groupe, l'avaient composée sous LSD.

Mary Jane

On connaît Rick James grâce à son tube "Super Freak" mais le chanteur et producteur était également l'auteur d'une chanson intitulée "Mary Jane" sortie en 1978. Mary qui? Les fumeurs de joints américains le savent: de la Mary Jane, c'est de la marijuana. A l'époque, Rick ne l'ignorait pas non plus. Et pour cause: il avait déjà un passé de toxicomane.

Expériences

Avant que Damon Albarn ne rejoigne Gorillaz, il était membre de Blur. En 1997 , le groupe anglais sortait "Beetlebum" et d'après Albarn, cette chanson parle surtout de "drogues et du temps où il fréquentait son ex Justine Frischmann". Une période pleine d'expériences en tous genres...

Rivaux éternels

Qui dit Blur dit aussi Oasis. Et les frères Gallagher, ce ne sont pas des enfants de chœur! C'était assez clair en 1997 lorsqu'ils ont sorti "Be Here Now". Il suffisait d'écouter le titre pour se rendre compte que les cinq membres du groupe étaient accro à la coke. Finalement, Noel fut contraint d'arrêter la drogue pour des raisons de santé: à cause de l'utilisation intensive de la poudre, ses dents commençaient à se déchausser.

Un jour parfait

"Perfect Day" de Lou Reed date de 1972 mais ce tube semble éternel. Il faisait partie de la bande son de "Trainspotting", c'est ensuite devenu une chanson de charité et en 2003, il a été revisité pour l'album "The Raven" du musicien américain. Et dire que cette chanson n'aurait jamais vu le jour si Lou Reed ne s'était pas drogué...

Fumeur de joints

Nous ne pouvions pas clôturer ce diaporama sans parler du fumeur de joint notoire Snoop Dogg. Combien de substances a-t-il consommé entre l'époque de Doggystyle (1993) et aujourd'hui? Sans doute trop pour les lister. Calvin Broadus Jr. Cordozar, de son vrai nom, a bien essayé d'arrêter mais il n'a jamais réussi à résister plus de quatre mois sans drogues.

Regardez tout ce que vous aimez, où et quand vous voulez.

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